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I N T R O D U C T I O N

De nos jours, l'intelligence artificielle fait partie intégrante de notre quotidien. On la retrouve dans de nombreux domaines tels que la santé, la télécommunication, les médias, l’industrie automobile, les réseaux sociaux, et bien d’autres. Pourtant dans les débuts, elle peinait à conquérir le grand public qui voyait mal l’association du mot intelligence avec machine. Doit-on alors réellement s’inquiéter de cette nouvelle innovation subie par la population ? 

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Le terme « intelligence artificielle » a d’abord été introduit par l’informaticien américain John McCarthy en 1951. L'IA se traduit alors comme un processus d'imitation de l'intelligence humaine qui repose sur la création et l'application d'algorithmes exécutés dans un environnement informatique dynamique. Son but est de permettre à des ordinateurs de penser et d'agir comme des êtres humains. Ainsi l’intelligence artificielle au sein du travail est un sujet de controverse des temps modernes. Effectivement, il y a une opposition entre un bon nombre d’acteurs sur les avantages et inconvénients d’une telle innovation. Les spécialistes s’accordent à dire que l’intelligence artificielle aura un fort impact sur l’emploi dans les années à venir. Face aux craintes de certains, d’autres sont beaucoup plus positifs et avancent un bilan création, suppression d’emplois positifs, avec en plus, une évolution vers des métiers plus innovants centrés sur l’humain. Durant les dernières années, l’intelligence artificielle (IA) a été victime d’une grande attention médiatique, que ce soit pour les effets qu’un tel développement technoscientifique pourrait avoir sur l’organisation des interactions humaines telles que les applications de rencontres, sur les habitudes de consommation, par exemple les algorithmes qui proposent des produits aux consommateurs, dont celles concernant les produits de culture comme Netflix, sur l’organisation des milieux urbains, sur l’organisation du transport et également, sur les conflits armés avec les drones autonomes.

 

D’ailleurs depuis 2010, il est possible d’observer des avancées importantes en matière d’IA, dont les voitures autonomes avec la marque Tesla, la reconnaissance faciale et la traduction de textes qui indiquent que l’on se trouve dans une phase de renaissance de l’IA. L’intelligence artificielle pourrait même aller jusqu’à remplacer des emplois dans la sphère médiatique, en effet des journaux français comme Le Monde et Le Quotidien collaborent avec des entreprises qui développent des intelligences artificielles afin de rédiger des articles. Ceci pourrait alors remplacer sur le long terme le métier de rédacteur. On voit alors qu’aucun métier n’est épargné face à l’intelligence artificielle même ceux qu’on pensait intouchables par l’IA. Dans un monde en constante évolution et qui privilégie les méthodes de productions rapides et efficaces, l’IA s’impose comme un progrès inéluctable pour la société et l’économie. Par exemple, la Chine prévoit en 2030 d’être le leader mondial de l’IA face aux autres pays. C’est pourquoi un retard dû à des questions de natures morales pourrait fortement desservir un pays au niveau économique et est alors peu envisageable dans un monde dominé par l'idée d'enrichissement. Suite à une étude, dans une vingtaine d’années, 47% des métiers aux Etats-Unis seront effectués par des robots. Cette tendance se retrouve alors dans tous les pays développés, dont la France. 

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